Eh oui, j'ai pas d'inspiration. C'est peut-être le froid, ça vivifie le corps, peut-être, mais pas l'esprit. Quoique le chaud non plus : z'avez qu'à voir avec quels organes on pense en été (cocktail cerveau génital, je vous le donne, ça peut servir. Et puis j'ai pas encore le cocktail cerveau génial, qui m'intéresse beaucoup plus... Donc le voilà : Eau tiède salée (pas salée, ça marche aussi mais moins bien), sable, fin si possible, bikini et épilation brézilienne plus 45 à 55 kg de chairs grillées pour les filles, caleçon et six mois de musculation plus 1.80 mètre au moins et un bon réservoir de blagues, pas trop lourdes de préférence, taille 2-3 (pas trop fines non plus, on est à la plage, hein... ), soleil brûlant (attention, si le cocktail tourne trop rose, c'est mauvais signe), monoï, serviette-éponge, mini-jupe, bar du coin. A ce moment-là, vous pouvez ajouter de l'alcool et touiller un peu. Attention, c'est la partie délicate, vous voudriez pas vous vautrer si près du but. Puis, si le cocktail est réussi, au lit ! (de préférence pas chez Papa-Maman))

Vivement l'été!

Là, ça m'énerve. Les gens qui conçoivent les produits de consommation courante sont pas logiques, ou alors ils ont aucun sens pratique. Pourtant, c'est des gens qui ont fait des études, on pourrait croire qu'ils sont autement qualifiés, ben que dalle. Par exemple, les billets de train. Quelqu'un peut me dire pourquoi un billet de train, on dirait que ç'a été conçu exprès pour pas rentrer dans un portefeuille? Grr...

Autre exemple : les petites culottes. Je parle pas des trucs sexy, qui sont pas faits pour être pratique, non, vous savez, les petites culottes en coton, celles qui se vendent par deux ou trois. Bon, ben si on achète celles-là, c'est parce qu'on veut quelque chose de simple, non? Alors pourquoi ils y mettent toujours des noeunoeuds débiles?GRRRRRRR!!!!!!

Voilà.

Eh oui, y'en a une, quand même : j'ai eu dix mille visites ur ce blog passionnant!! Merci à vous, et désolée d'être si chiante en ce moment...

Ahhh, quel beau week-end qui s'annonce! Des sinus comme les rues de Marseille pendant une grève des éboueurs, l'utérus qui part en lambeau que si j'étais pas (involontairement) abstinente depuis quatre mois je croirais que j'ai fait une fausse couche, pis mal au bide, au cul, au coeur. Pis ce cher exposé de civi à faire pour mardi, et je sais même pas ce que je vais y mettre pour tenir vingt minutes, et les partiels qui approchent, et ce bouquin à lire, et pis fait froid, et pis fait chier (me demandez pas quoi, je le sais pas.)Envie d'aller me coucher, angoisse d'aller me coucher. Envie de veiller, mais quoi faire ? Bon, je reviens quand ça va mieux.

J'ai négligé ma rubrique délires et tribulations, ces derniers temps... Ma vie est monotone, voyez-vous. Je suis toujours seule, je suis toujours courtisée pour mon cul, alors que je suis tout le contraire de l'image que je donne : plutôt fleur bleue, finalement, attirée par les amours impossible, celles qui n'existent que dans les romans qui se finissent mal. Monotonie. Ma vie ne change pas. Les composants de ma charade restent,  rien de nouveau à l'horizon.

Mon premier est un amour de jeunesse ; il est cynique et drôle. Son image de la femme parfaite est exactement mon opposé. Pourtant, j'aurais changé pour lui. Mais pas longtemps, certainement. Ah, il ne sait pas ce qu'il a perdu.

Mon second est un nerd nihiliste dépressif. Nous nous aimons à la folie quand on se voit "par hasard", c'est à dire qu'on s'est aimé deux fois deux jours. Il finira suicidé ou alcoolique.

Mon troisième est un Hippie de trois fois mon âge, qui a des yeux bleus et une fois envoûtante. J'oubliait : c'est aussi un ami de ma mère. Or ma mère a les mêmes goûts que moi en la matière. Je croyais qu'il était out, mais non.

Et le pire, c'est que vous savez ce qu'est mon tout, au niveau caractère : MOI. Mes amours sont les composantes de mon alter ego. Mais lui, il existe?